Les dernières...les meilleures forcément, la plénitude de la fin de saison...
Elles accompagnent si bien un jambon ibérique ou italien, un petit chèvre frais, quelques pignons grillés, et se révèlent sous un trait de vinaigre balsamique...
Il en reste des petites sur les arbres, elles n'auront plus le temps de mûrir.
Tu me sors les mots de la bouche Léna ! Les figues et moi, c'est aussi une grande histoire d'amour. Sous toutes leurs formes cuisinées. Confites autour d'une canette, j'en veux aussi.
RépondreSupprimerDis... ça se congèle ? Elles ne ressortent pas "en eau" ?
Tu es une gourmande et j'aime ça. Tes nourritures sont délicieuses aussi bien terrestres qu'intellectuelles, c'est du pur plaisir. A très bientôt Léna.
RépondreSupprimerJe me souviens des figuiers de nos voisins...Chaque année, nous avions droit aux pots de "confiture maison" inégalée dans le commerce (j'en ai encore le goût dans la bouche), et aux paniers remplis de figues plus délicieuses les unes que les autres. MMMMHHH ! J'aimerais bien revenir en arrière de temps en temps. Les figues que l'on a sur les étals à Paris sont sèches, petites et sans goût.
RépondreSupprimerJe vous envie, je déguste avec vous les dernières...
Trop tard Flo, je les ai toutes boulottées, sans complexe aucun ;-))
RépondreSupprimerLa cuisine : c'est moi et les figues !
miam ! les dernières ont été mises en pot ici
RépondreSupprimerPhoto et titre de blog en parfait accord, la classe !!
RépondreSupprimerUn fruit symbolique qui nous ramène aux sources...
RépondreSupprimerVu hier dans le jardin fermé d'une maison bourgeoise, un grand figuier, lourdement chargé de ses fruits mûrs à point, plein de promesses, le suc perlant au pédoncule, injustement dédaigné!
Oubliant que je ne m'appelle pas Eve, j'ai poussé la grille...
Délicieux moment
Je crois que j'aurais fait pareil... Après tout, elles n'attendaient que vous !!
RépondreSupprimerC'est bien d'habiter plus au sud, il y a des figues.
RépondreSupprimerDes automnes dans le passé. Je pars vers les figuiers un panier au bras, je tapisse le fond de feuilles larges. Je commence la cueillette, soigneusement. Je suis profondément convaincue qu'il faut d'abord les goûter. Une, puis une autre puis... je reviens vers la maison le panier presque vide :-)
RépondreSupprimerLa Sudiste, mon panier n'attend plus que vous!
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