samedi 25 décembre 2010

Lendemain de Fête...




Le lendemain de Noël est un jour particulier. Le matin commence tout doux, la maison est silencieuse, j'entends ses soupirs, les petits craquements du bois, le poêle qui ronronne.
La première tasse de thé a une saveur d'autant plus réconfortante que je tire les lourds rideaux et que la neige s'étend à perte de vue. Les figuiers doivent trembler de froid...ils s'en remettront comme tous les ans.



Il m'a tardé de vous souhaiter des fêtes pleines d'émotions, de chaleur, d'amour et de bonheur! A la mesure des jolis voeux que je publie ici...

Regardeuse a dit…

Quand le Figuier est déserté depuis trois semaines, on les dépose où nos "JOYEUX NOEL !!" ?

Tant pis, ici. De l'amour et des sourires autour du sapin tout le monde ! (et pour ceux qui n'ont pas fait le sapin, suivez mon regard, euh... de l'amour et des sourires aussi !).

anna a dit…

Joyeux Noël Léna !
Joyeux Noël sous le figuier, Regardeuse et tout le monde! ...

mardi 7 décembre 2010



Quête d'authenticité
Espaces sauvages
Solitude voulue
Identité délaissée comme un vêtement qui ne va plus
Famille rejetée

et aller au bout de ses convictions
être idéaliste, volontaire et attachant

Un road-movie intense.

Me sentir déstabilisée, perturbée, m'interroger. Une réussite donc!

jeudi 2 décembre 2010

Un jeudi d' hiver...



Journée froide et lumineuse, la vie semble ralentie sur la route de campagne.
Au bureau, la matinée est intense.
Envie d'air! Envie de lumière, de la chaleur d'un feu du bois, d'un goûter avec l'amoureux!
Une réunion de travail reportée et là une page blanche, plutôt une demie qu'on peut enfin remplir selon l'envie...
Une promenade dans le jardin gelé, thé de Noël, lumignons et faire les listes pour les Fêtes! Oui!

vendredi 12 novembre 2010

Regardeuse a dit…




Plus que ce que lisent les gens, ce qui me plaît par-dessus tout est qu'ils racontent le rapport qu'ils ont à la lecture. Où, comment, pourquoi. Dans leur lit, le métro, en marchant. A quelle fréquence. Comment ils les empilent, sur leur table de chevet, près du canapé. S'ils aiment les prêter. En ont-ils toujours un dans leur sac. Et si oui, est-ce un recueil qui ne les quitte jamais ou celui en cours. J'observe avec quoi ils marquent les pages. Une carte postale, un ticket de bus, un "vrai" marque-page ; certains l'ont même en tissu. J'aime savoir s'ils les achètent, les louent, en acquièrent d'occasion ou ne supportent que les neufs. Si leur boulimie est presque maladive (je ne peux m'endormir sans avoir lu, mon désespoir est indescriptible si aucun ne m'attend). J'aime savoir enfin comment ils décident de lire celui-ci plutôt qu'un autre ; une couverture? un article dans la presse ? un auteur dont ils attendent fébrilement la dernière parution ?
Donc, les listes (moi qui les aime tant) n'est pas ce qui m'attire le plus ; j'aime les secrets, jamais dévoilés, des lecteurs avec LE livre qu'ils ont là, aujourd'hui, sur leurs genoux, l'index glissé entre deux pages...
12 novembre 2010 09:05

jeudi 11 novembre 2010




Chemin faisant, j'ai toujours aimé lire. Une évasion, une ouverture sur le monde quand petite, on est enfermée dans un pensionnat. Un savoureux mélange d'auteurs dûment recommandés et d'autres clairement interdits...

Les premières découvertes...

Colette, son goût pour la vie, ses délicieux excès qui ont enchanté ma jeunesse
« Je voudrais dire, dire, dire tout ce que je sais, tout ce que je pense, tout ce que je devine, tout ce qui m’enchante et me blesse et m’étonne; mais il y a toujours, vers l’aube de cette nuit sonore, une sage main fraîche qui se pose sur ma bouche, et mon cri, qui s’exaltait, redescend jusqu’au verbiage modéré, à la volubilité de l’enfant qui parle haut pour se rassurer et s’étourdir... » Les Vrilles de la Vigne

Robert Sabatier
"les allumettes suédoises", une époque aimée et révolue, toute une atmosphère

Balzac, révélation collégienne qui perdure

Muriel Cerf
"les rois et les voleurs", mutine, dérangeante, très ...

Baudelaire, l'ivresse et la beauté des mots

Puis ceux qui vous habitent, les prégnants...

Albert Cohen, solaire, "la Belle du Seigneur"

Heinrich Böll, "L'Honneur perdu de Katharina Blum" courageux, "Portrait de groupe avec dame" fascinant

John Irwing "Une prière pour Owen" profond, lu et relu, un livre qui ne m'a plus quittée

Louise Erdrich, "Ce qui a dévoré nos coeurs" dense, superbe

Richard Powers, "Le temps où nous chantions" chef d'oeuvre

Stephan Zweig "Le joueur d'échec" less is more

Ceux qui  font du bien...

Paul Auster et "Brooklyn Follies" résolument optimiste et plus complexe qu'il n'y paraît

Marie Rouanet "Nous les filles" nostalgie et souvenirs retrouvés

Jostein Gaarder
"le monde de Sophie" interrogatif parce que tout ne va pas de soi...

Merci Enitram, pour cet arrêt sur lecture...mais je vais pester pour en avoir oublié!

mercredi 27 octobre 2010

Une liste pour se réconcilier avec l’hiver



nuages dorés côté jardin

J'aime faire des listes. Elles me laissent croire que j'ordonne et simplifie ma vie, que j'anticipe mais je ne suis pas dupe...
Celle-ci est rédigée pour le petit bulletin municipal mais j'ai aussi envie de la partager avec vous


Entreposer au sec le bois coupé pour la cheminée, celui du frêne ou du pommier parfume délicieusement l’atmosphère.
Faire l’achat du combustible pour la chaudière

Vidanger les robinets extérieurs. Couper leur alimentation en eau, purger puis laisser ouvert d’un quart de tour.

Réviser la voiture, vérifier les feux, lubrifier les serrures -celles de la maison aussi- compléter le niveau du lave-glace avec un liquide anti-gel, mettre les pneus d’hiver, prendre l’habitude de faire le plein sans attendre d’être dans la zone critique…et ne jamais connaître le bonheur de remplir son réservoir dans le froid humide du petit matin, les doigts gelés, les chaussures mouillées et d’une humeur de chien, pressé de partir à son travail…

Remplir la mangeoire des oiseaux près de la maison. Graines, margarine, pomme attirent une nuée de passereaux, de petits effrontés, d’autres vraiment attendrissants

Purger les radiateurs,
Faire une réserve de bougies, d’allumettes, d’allume-feu, de piles pour la torche, d’ampoules pour chaque éclairage de la maison,

Disposer un panier près de la porte d’entrée pour retrouver gants et écharpes, disposer une crème pour les mains près des lavabos et un baume pour les lèvres dans chaque sac.
Avoir une petite pharmacie pour soigner sans attendre les petits maux de la saison, pastilles pour la gorge, paracétamol, anti-grippal homéopathique, sirop pour la toux…

Approvisionner généreusement le garde-manger et le congélateur pour éviter de faire les courses un jour de blizzard. Cuire un cake aux pommes, noix et cannelle, faire un thé bien chaud et partager ce moment alors que le ciel est si bas que le jour ressemble à la nuit.

Rendre nos chambres encore plus accueillantes, les aérer même en hiver, diffuser des huiles essentielles pour assainir l’air, nous passons le tiers de notre existence dans notre lit…

Le soir, prendre un quart d’heure pour préparer la journée du lendemain, vérifier son agenda, ses rendez-vous, rassembler dans un même endroit les choses dont on aura besoin, clés, papiers, courrier à poster. Choisir ses vêtements et les poser sur un cintre.

Chaque matin, s’offrir le temps d’un vrai petit déjeuner avec l'odeur craquante du pain grillé, du café frais ou l’arôme malté du thé, voir le jour se lever...Pas encore de journaux, mais des mots ou des silences doux, le monde semble encore tranquille à cette heure...

Poser un plaid sur le canapé, ainsi qu’un bon livre. Sortir le Scrabble ou tout autre jeu préféré. Allumer une bougie parfumée. Trouver enfin du temps pour trier les photos de famille ou de vacances.

Admirer Sirius, la plus belle étoile de notre ciel nocturne en hiver

Profiter des belles journées froides pour marcher dans la campagne, s’aérer l’esprit.

Inviter les amis autour d’une soupière odorante et fumante, rire pour éclairer cette trop longue nuit, ces mois de brumes et brouillards, de glaçons et de frissons

L’hiver devient douillet, lumineux, réconfortant.

vendredi 22 octobre 2010

Fêtons la Citrouille et sa Sorcière!



En sortant d'une longue réunion de travail, je manque d'envie pour suivre le groupe dans une des avenantes auberges de ce lieu touristique. Je reprend ma voiture, me fie à un GPS étonnamment distrait aujourd'hui, qui me fait prendre des chemins de traverse. Les villages sont absolument déserts entre midi. Et là, à Beire-le-Châtel, l'émotion du Beau!
Le temps s'arrête, personne dans les rues, je me sens gâtée même si je me traite d'idiote d'avoir oublié l'APN, et je m'émerveille devant les décors si réussis de la Fête de la Citrouille.
J'imagine le travail, toutes ces personnes motivés pour réaliser quelque chose d'aussi harmonieux, cohérent, poétique, un univers qui me ravit, un Harry Potter en plus joyeux.

Merci à eux, à leurs citrouilles ventrues, à leurs sorcières stylées et leurs oriflammes glorieux! C'est en Côte d'Or, si vous le pouvez, allez-y!

Edit de 21h: une toute mignonne entendue chez La Citrouille et sa Sorcière:
Un fantôme dit à un autre fantôme :
- Et dis-donc! Il y a un mouchoir qui traîne derrière toi !
- C'est pas un mouchoir, c’est mon fils !

dimanche 11 avril 2010

Parce qu'elle ne le dit pas...

Magnolia x loebneri 'Merrill'

Elle a raison, la gentille qui me l'a rappelé, c'est mieux de le dire clairement!
Alors oui, une pause parce que je ne trouve plus le temps... Si j'en découvre un peu, bien caché, mon état d'esprit n'est pas celui qui me va pour bavarder...
Alors une pause! Pour ne pas culpabiliser en pensant à toutes ces belles personnes qui passent ici et ne trouvent que poussières et absences...

En attendant que me reviennent des pensées plus légères, une humeur pétillante, des mots plus inspirés, je vous souhaite un très doux printemps...Soyez sages!

Derrière mon absence, de jolies choses aussi...

vendredi 26 février 2010

le premier amour


Un livre, lu d'une traite! Prendre la route pour l'Italie, avec des escapades, des rencontres, des retrouvailles, des détours et des retours sur un passé qui remonte à la surface.
Une histoire pourtant peu vraisemblable à laquelle j'ai aimé croire! Un rythme vif, des émotions, des états d'âme, de belles phrases, des thèmes plus profonds qu'il n'y paraît, d'intenses interrogations sur ce que l'on est lorsque les enfants quittent le nid, sur ce qu'est le couple aussi!
Ce besoin d'être et de faire quelque chose par et pour soi, retrouver son passé, savoir si on ne s'est pas trompé de vie, se sentir libre, tout quitter alors qu'on prépare une fête pour ses 25 ans de mariage...
Alors éteindre le four, prendre les clés, partir et répondre à l'appel d'un amour de jeunesse.
Et se mettre tout son monde à dos, un mari qui perd le nord, ses filles surtout, qui veulent que leur mère reste seulement mère...
Cap ou pas cap?
Un joli roman avec de beaux personnages qui aurait juste mérité une fin plus ambitieuse...un peu moins inappropriée.

dimanche 21 février 2010


Une fin de semaine tranquille, s'occuper de la maison, nettoyer le jardin et ses vestiges de l'année passée...
Les hellébores, revigorées par la douceur du soleil, demandent leur effeuillage annuel, impossible de le leur refuser!
Ce n'est qu'un début, il faudra des jours et des jours de ciel clément et de courbatures, pour tailler, gratter la terre, ratisser, transplanter, rempoter, pailler, refaire les bordures et donner enfin un air soigné à ce jardin.
Mais pour retrouver le rose aux joues et mettre en appétit, c'est un bon plan...

Le menu du dimanche se fait presque seul au four, pour me laisser du temps, poulet rôti sauce à l'estragon, frites au four maison, salade de mâche, moelleux au caramel

Je ne fais jamais de frites à la maison, à l'extérieur elles sont déjà si souvent proposées et l'odeur de la friture me soulève le coeur, seule concession, la tempura de légumes de temps à autre l'été, car un centimètre d'huile dans le wok, c'est supportable. Alors cette recette s'appelle une concession...une pomme de terre coupée en frites par personne est placée dans un sac congélateur avec une demie cuillerée d'huile d'olive et une cuillerée à café de chapelure blanche mélangée à de l'origan ou du thym, on secoue pour bien enrober et on place sur une plaque garnie de papier cuisson pour 30 minutes à 200°. Fleur de sel et poivre et c'est fait! Idée piquée au ELLE à table, et adaptée, ils ajoutent du parmesan, j'ai craint qu'il ne brûle, et du beurre, superflu à mon goût.

Pour la sauce à l'estragon simplissime! Le poulet rôti attend au chaud dans son plat de service, on jette le gras et on verse une giclée de vin blanc sec dans son plat de cuisson pour libérer les sucs, une tasse de bouillon corsé, une pluie de feuilles d'estragon hachées grossièrement, on laisse réduire, on ajoute 20cl de crème fraîche ou de la crème de soja, du poivre et on laisse chauffer trois minutes. On mixe au plongeur pour faire une sauce toute mousseuse et parfumée.

jeudi 18 février 2010

Une âme perdue


Quelques pages italiennes sur cet instant où le voile se déchire, où toutes les pièces se mettent en place et l'évidence s'impose. Ce moment si particulier où l'on se rend compte qu'on le savait presque, c'était là, si près de la surface!

Une histoire autour de ce plongeon qui mène un adolescent de la naïveté de l'enfance à une vision bien plus réaliste du monde adulte, ses hypocrisies, ses turpitudes. Un Turin des années 60 que j'ai connu ainsi, fatigué par le soleil, caché derrière ses persiennes décaties, silencieux, poussiéreux, étouffant! Des personnages si vrais et qui réussissent tout de même à se payer un masque! Magistral! Giovanni Arpino est un grand, il nous rappelle Cesare Pavese.

Son Parfum de femme m'avait émue et longtemps imprégnée.

Ironie, il a fait beau aujourd'hui, un ciel d'un bleu réjouissant pour une longue journée de reprise...

mercredi 17 février 2010

Après-midi de filles


Derniers moments entre filles, alors avec le gris qui s'affiche ici, il vaut mieux profiter du feu et cocooner tranquillement avec un bon livre, un thé so delicious après un démaquillage glamour, un grand merci aux filles de Toulouse qui m'offrent le cadeau le plus anti-déprime qui soit, rhooo, rien que l'odeur...et cette sensation de netteté et de douceur... reste encore du temps pour un soin qui ressuscite le pire des crins! Futile et girly j'avoue... mais une méthode douce pour recharger les batteries avant la reprise demain.

dimanche 14 février 2010

escapade


Une jolie surprise que cette escapade à trois heures de route d'ici! Bien sûr, plus on avance et plus le ciel est gris, ils se plaignent là-bas de n'avoir eu que huit heures de soleil depuis le début du mois...La promenade est belle et froide, chaque inspiration est vivifiante...Le stress du travail s'efface enfin mais la bête est juste tapie, prête à resurgir.
Allons, même sans soleil, place à la fête! Un repas en amoureux m'attend!

Cappucino de Homard au jus d'oursin,
Rosace de St Jacques et grosses Gambas poêlées, écume crémeuse aux tomates confites
Pierrade de foie Gras de canard flambé, millefeuille de Charlottes aux truffes, petites côtes de marcassin sauvage et son jus réduit aux champignons des sous-bois, purée de panais et petits légumes vapeur....et bien plus encore...


Des plats avec la juste saveur, joliment cuisinés, et mon étonnement ravi de voir arriver sur mon assiette un galet grésillant qui cuit le foie gras, de l'original, du créatif mais toujours goûteux! La passion en cuisine!

Et demain est un autre jour...

dimanche 17 janvier 2010

Un dimanche de janvier


La parenthèse se ferme, les enfants repartent et laissent place à un silence juste troublé par le ronronnement du poêle et les craquements du bois...Bientôt les dernières lueurs du jour s'éteindront, bougies et lanternes adoucissent déjà l'humeur inquiète...les savoir bien arrivés...
La maison attendra un mois avant d'être pleine à craquer.
Alors se blottir sous le plaid, feuilleter encore le livre des voluptuous delights de la toute aussi délicieuse Miss Dahl's dont les ginger and pear muffins ont eu un succès mitigé au goûter... Sans matière grasse mais compensation exquise, la compote de poire et les épices donnent du caractère. Ils ont une texture aérée, sponge cake, qui fait taire la mauvaise conscience et ont aussi le goût de la petite chose sucrée qui évite la frustration...Les parents les ont beaucoup aimé pour accompagner leur thé mais les jeunes leur ont reproché de ressembler au pain plutôt qu'au gâteau, trop peu sucré aussi pour leur bouche...

Pear and ginger muffins


145g de farine
150g de petits flocons d'avoine
2 c à thé de levure alsacienne
1 c à thé de bicarbonate de soude
1 c à thé de gingembre moulu
1 c à thé de cannelle
1 pincée de noix de muscade fraîchement râpée

225g de compote de poire
4 blancs d'oeufs légèrement battus
125 ml de yaourt nature
240g de sirop d'agave ou de miel
1 poire ferme pelée et tranchée
100g de raisins blonds (que j'ai remplacé par les amandes effilées)


Je chauffe le four à 180°.
Je place des carrés de feuille de cuisson dans les moules.

Je mélange les ingrédients secs et creuse un puits au centre pour les ingrédients humides. Je mélange doucement sans trop insister. Les moules sont remplis au trois quarts, la tranche de poire posée, ils passent au four pour 25 à 35 minutes selon la taille.
Je les sers simplement chauds. Mais ils peuvent être dégustés avec un apple butter ou de la confiture...

dimanche 3 janvier 2010


Vos messages m'ont touchée...vraiment! Vos mots d'encouragement, d'amitié, vos questions! Et mon silence, mon regret sincère de ne pouvoir être là! Pour être disponible ailleurs! Là où ma présence est nécessaire...Pour mon père...les hauts et les bas, ces derniers plus nombreux...mais toujours l'espoir...et un bonheur immense en retour, l'amour, la tendresse et même la gratitude dans ses yeux...
Que dire...
Avant tout, Très Bonne Année à Vous! Qu'elle vous soit douce! Que les promesses et les attentes soient comblées! Que vous savouriez chaque moment pour n'en garder que le meilleur... celui qui rend plus fort, plus généreux et si serein! Très bonne année!